Contexte historique
Le Paris Saint-Germain (PSG) a réussi à se qualifier pour la finale de la Ligue des Champions en battant Arsenal 2-1 lors de la demi-finale retour jouée au Parc des Princes. Ce succès s'inscrit dans un parcours historique pour le club, qui cherche à décrocher sa première victoire dans cette prestigieuse compétition. Cette finale, prévue le 31 mai à Munich contre l'Inter Milan, sera la deuxième du PSG après celle de 2020, perdue contre le Bayern Munich.
Parcours du PSG
Le parcours du PSG cette saison a été marqué par des performances notables, notamment contre plusieurs équipes anglaises. Paris a éliminé Liverpool en huitièmes de finale, Aston Villa en quart de finale et Arsenal en demi-finale. Ces victoires ont été possibles grâce à un solide sens du collectif et une force mentale remarquable présentée par l'équipe, sous la direction de l'entraîneur Luis Enrique.
Match retour contre Arsenal
Lors du match retour contre Arsenal, le PSG a subi une pression intense des Londoniens, surtout en début de match. Gianluigi Donnarumma, le gardien du PSG, a réalisé des arrêts décisifs qui ont permis à son équipe de rester dans le match. Malgré cela, le PSG a ouvert le score grâce à un but de Fabian Ruiz, puis a doublé la mise par Achraf Hakimi sur une passe d'Ousmane Dembélé. Arsenal a réduit le score grâce à Bukayo Saka, mais n'a pas pu inverser le résultat.
Enjeux pour la finale
En affrontant l'Inter Milan, le PSG tentera de remporter son premier titre en Ligue des Champions, un objectif que le club poursuit assidûment depuis l'arrivée de ses propriétaires qataris en 2011. Cet événement sera particulièrement symbolique alors que le PSG joue à Munich, la ville où l'Olympique de Marseille a décroché le seul titre de Ligue des Champions pour un club français en 1993.
Réactions et célébrations
La qualification a suscité des scènes de joie intense parmi les supporters du PSG, qui ont célébré cette victoire dans tout Paris, en particulier sur les Champs-Élysées. Malgré quelques incidents de violence, l'ambiance générale a été celle d'une fête collective, marquant un contraste saisissant avec la finale de 2020 où les célébrations étaient limitées en raison de la pandémie de Covid-19.