Introduction
En juillet 2020, Donald Trump, président des États-Unis, a signé un décret visant à lever les restrictions concernant le débit des pommeaux de douche, des réglementations qui avaient été mises en place pour limiter la consommation d'eau. Cette décision intervient dans le cadre de sa critique constante des normes fédérales qu'il jugeait trop strictes en matière de pression d'eau.
Motivations du décret
Donald Trump a souvent exprimé son insatisfaction face à la pression d'eau insuffisante dans les salles de bains américaines, une situation qu'il attribue aux réglementations fédérales destinées à préserver la ressource en eau. En signant ce décret, Trump a déclaré son désir de "rendre leur grandeur aux douches américaines", paraphrasant son slogan de campagne "Make America Great Again". Il a indiqué que ces normes avaient transformé un article ménager de base en un "cauchemar bureaucratique".
Contenu du décret
Le décret ordonne au ministère de l’Énergie d'assouplir les limitations décrites comme un "extrémisme vert". Concrètement, ce décret concerne la levée des réglementations qui limitaient le débit des pommeaux de douche à environ 9 litres par minute pour des raisons de conservation de l'eau.
Réactions et conséquences
Le président Trump a souvent évoqué à la fois sur le ton de l'humour et avec sérieux l'importance d'une bonne pression d'eau pour son hygiène personnelle, notamment pour ses cheveux. Toutefois, cet assouplissement a suscité des réactions variées. L'ONG Appliance Standards Awareness Project, par exemple, a souligné que les normes existantes permettent aux consommateurs de réduire leurs factures d'eau et d'énergie tout en contribuant à la préservation de l'environnement. Ils affirment que des tests ont régulièrement montré que les pommeaux de douche actuels pouvaient offrir une expérience satisfaisante.
Conclusion
La décision de Donald Trump de supprimer ces restrictions s'inscrit dans une série de mesures visant à réduire les régulations perçues comme excessives, que le président a appliquées durant son mandat. Elle reflète également ses préoccupations concernant le confort personnel et les préférences des consommateurs face à certaines réglementations fédérales.