Contexte et déclenchement de l’incident
Un incident impliquant l’administration suspectée de substances nocives s’est produit dans un camp de vacances à Stathern, dans le comté de Leicestershire, au Royaume-Uni. L’événement a été signalé en début de semaine, lorsqu’il a été constaté que plusieurs enfants présentaient des symptômes de malaise.
Réponse des autorités et prise en charge
Les forces de l’ordre et les services de secours ont été immédiatement informés de la situation. Sur place, les enfants concernés ont été examinés par les secouristes. Un centre de triage a été mis en place dans une commune voisine afin d’évaluer l’état de santé des jeunes vacanciers. Suite à ces évaluations, huit enfants ont été hospitalisés par mesure de précaution.
Situation médicale des enfants
Selon les informations communiquées ultérieurement par la police, tous les enfants hospitalisés ont depuis pu quitter l’établissement de santé. Aucun détail supplémentaire n’a été fourni sur la nature exacte des substances impliquées.
Interpellation et investigations
Un homme âgé de 76 ans a été interpellé dans l’enceinte du camp. Ce dernier est soupçonné d’avoir administré une substance potentiellement nocive « dans l’intention de blesser, de nuire ou d’importuner ». Il demeure en détention dans l’attente de la poursuite de l’enquête. À ce stade, les autorités n’ont communiqué aucune précision sur la substance potentielle utilisée.
Suite de l’enquête et réactions
La police locale a indiqué que les investigations se poursuivaient sur les lieux de l’incident. L’IOPC, organisme chargé du contrôle de l’action policière, a annoncé l’ouverture d’une enquête visant à établir si la gestion initiale de l’incident par la police locale a présenté des insuffisances ou retardé la prise en charge de la situation.
Les représentants des forces de l’ordre ont exprimé leur compréhension quant à l’inquiétude suscitée par cet événement parmi les parents, les responsables du camp et la communauté locale. La police a assuré qu’elle resterait en communication étroite avec les familles concernées et qu’elle continuerait à fournir des mises à jour régulières sur l’avancée des investigations, dans le respect de l’instruction en cours.