Gendarme de 38 ans retrouvé mort dans la caserne de Wissembourg

30 septembre 2025

1 min

Suicide d'un gendarme de 38 ans retrouvé dans son logement de la caserne de Wissembourg ; le parquet de Strasbourg a ouvert une enquête, des soutiens psychologiques ont été déployés pour la famille et les collègues, et les chiffres 2024 du ministère rappellent la fréquence des suicides dans les forces de l'ordre.

Une cellule de soutien psychologique a été ouverte au sein de la compagnie de gendarmerie de Wissembourg. Photo Sipa/Patrick Siccoli

Faits

Un gendarme de 38 ans s'est suicidé avec son arme de service dans son logement situé au sein de la caserne de Wissembourg (Bas-Rhin) dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 septembre 2025. Le militaire était affecté au peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) de Wissembourg.

Enquête

Le parquet de Strasbourg a ouvert une enquête visant à déterminer les circonstances et les causes du décès. Les investigations sont en cours sous la direction du parquet.

Mesures d'accompagnement

Des mesures de soutien psychologique et d'accompagnement social ont été mises en place pour la famille du gendarme et pour ses collègues au sein de la compagnie de gendarmerie de Wissembourg.

Contexte statistique

Selon des chiffres du ministère de l'Intérieur, 27 policiers et 26 gendarmes se sont suicidés en 2024.

L'ESSENTIEL

Un gendarme de 38 ans s'est suicidé avec son arme de service.
Le décès a eu lieu dans son logement de la caserne de Wissembourg.
L'évènement s'est produit dans la nuit du 25 au 26 septembre 2025.
Il était affecté au peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) de Wissembourg.
Le parquet de Strasbourg a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances.
Un soutien psychologique et social a été mis en place pour la famille et les collègues.
En 2024, 27 policiers et 26 gendarmes se sont suicidés selon le ministère.