La Bastide enchantée à Villeneuve‑sur‑Lot
La Bastide enchantée se tient du 6 décembre au 4 janvier. L’événement rassemble des chalets de créateurs, une patinoire entièrement couverte, des ateliers, un carrousel et d'autres animations organisées par la mairie, la fédération des commerçants du Grand Villeneuvois et l’office de tourisme.
Les chalets seront installés notamment sur le parking Bernard‑Palissy et sur la place historique de la ville. La patinoire, prévue place Lafayette, bénéficiera d'une surface accrue et d'une couverture intégrale. Dix chalets gourmands et un atelier de création de couronnes et de fleurs seront disposés autour de la fontaine. Deux nocturnes sont programmées les samedis 20 et 27 décembre, avec des sessions animées musicalement par des patineurs ; la patinoire pourra être réservée par des comités d’entreprise, des associations ou des particuliers.
La Petite Bastide se tiendra sur le parking de la Libération, avec l’installation d’un carrousel. Un feu d’artifice est prévu au parc Saint‑Cyr le samedi 20 décembre à 19 heures, en lien avec une véloparade.
Un jeu commercial, la « hotte du Père Noël », est organisé par la fédération des commerçants et les unions locales. Des cartes à gratter seront distribuées pour tout achat chez les commerçants participants ; les dotations annoncées s’élèvent à un total de 20 000 euros.
Pendant la période de l’événement (6 décembre‑4 janvier), les places de stationnement disponibles en centre‑ville seront gratuites, à l’exception des arrêts‑minute. La municipalité précise qu’en complément il existe 1 500 places au parc des expositions. La ligne 1 du réseau de transports urbains fonctionnera gratuitement du lundi au samedi ; les dimanches de décembre, une navette dite du Père Noël circulera toutes les 20 minutes.
Proportion de propriétaires occupants à Bruxelles
Les données citées indiquent qu’à Bruxelles la part de propriétaires occupants était de 21,4 % au 1er janvier. Cette proportion est nettement inférieure à celle observée en Flandre et en Wallonie. La structure du parc immobilier contribue à cet écart : environ 70 % des logements bruxellois sont des appartements, contre une proportion plus élevée de maisons dans d'autres régions.
Les taux de propriétaires varient sensiblement selon les communes de la capitale : des niveaux plus élevés sont relevés à Uccle, Auderghem, Woluwe‑Saint‑Pierre et Watermael‑Boitsfort, et des niveaux plus faibles à Saint‑Josse‑ten‑Noode, Saint‑Gilles et Ixelles. Des mouvements de ménages — achat d’un premier logement en ville puis installation en périphérie pour un logement plus grand — contribuent à ces dynamiques et expliquent en partie la présence, dans certains cas, de logements conservés en location.
Logement et résidences secondaires à Saint‑Malo
La municipalité de Saint‑Malo a étendu une obligation de vendre à des occupants à l’année à 3 755 logements neufs, décision prise en conseil municipal selon la source citée. Cette mesure vise à limiter la transformation de logements neufs en résidences secondaires sur certaines parties du territoire communal.
Le taux de résidences secondaires à Saint‑Malo a été estimé à environ 26 % selon les éléments cités. L’Insee indique par ailleurs que 4,9 % des logements malouins étaient vacants en 2022, soit 1 834 logements. Des agents immobiliers locaux signalent la présence de biens inoccupés de longue durée, parfois pour des raisons financières ou liées à la volonté des propriétaires de conserver leur patrimoine.
La mise en place de quotas sur les locations de courte durée a été mentionnée comme freinant certains investissements dans ce type d’offre, tandis que les locations meublées à l’année semblent se développer. Les conditions de financement, notamment le niveau des taux d’emprunt, restent un facteur important influant sur la commercialisation et l’investissement dans le neuf.
Observations transversales
Les éléments rassemblés illustrent trois enjeux urbains complémentaires : l’organisation d’événements saisonniers et leur logistique, les différences territoriales de propriété résidentielle et la gestion des résidences secondaires et des logements vacants. Chacun de ces sujets engage des décisions locales en matière d’urbanisme, de stationnement, d’offre commerciale et de régulation du marché du logement.
Ces enjeux renvoient à des arbitrages entre attractivité touristique, qualité de vie des habitants et régulation d’un marché du logement tendu dans certaines zones littorales et métropolitaines.








