Contexte
Le 6 octobre 2025, des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas ont débuté en Égypte. Ces négociations visent principalement la libération des otages détenus à Gaza et la conclusion d'un cessez‑le‑feu. Elles se déroulent sous la médiation de l'Égypte et du Qatar, avec le soutien des États‑Unis.
Déroulement des pourparlers
Les échanges se tiennent de manière indirecte, chaque médiateur faisant office d'intermédiaire entre les délégations israélienne et du Hamas. Les discussions s'appuient sur un plan en 20 points présenté par les États‑Unis, décrit comme un cadre pour parvenir à un accord durable concernant la bande de Gaza.
Déclarations du président américain
Lors d'un échange avec la presse depuis le Bureau ovale, le président des États‑Unis a déclaré que le Hamas « avait accepté certaines choses très importantes » et a estimé qu'un accord sur Gaza était probable. Il a évoqué l'existence de « lignes rouges » pour les discussions sans en préciser le contenu, et a nié avoir critiqué la position du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qualifiant au contraire ce dernier de « très positif » vis‑à‑vis du processus.
Thèmes abordés
Parmi les sujets discutés figurent la libération d'otages, des mécanismes d'échange de détenus, l'élargissement de l'accès humanitaire à la bande de Gaza et les modalités d'un cessez‑le‑feu. À la date des déclarations, aucun texte d'accord n'avait été rendu public et les engagements précis du Hamas n'étaient pas publiés.
Situation sur le terrain
Malgré l'ouverture des discussions, des frappes et des opérations militaires se sont poursuivies dans plusieurs secteurs de la bande de Gaza. Parallèlement, les autorités israéliennes ont annoncé l'expulsion de participants à une flottille humanitaire, dont une militante suédoise. Les bilans et situations opérationnelles ont varié dans les jours entourant le début des pourparlers.
Acteurs et médiation
L'Égypte et le Qatar ont joué un rôle central dans la médiation des échanges. Les États‑Unis ont présenté et soutenu le plan en 20 points servant de cadre aux discussions. Les parties impliquées n'avaient pas publié de texte d'accord au moment des déclarations rapportées.